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Jésus a remplacé Didier Drogba sur le trône de son coeur


Shalom frères et sœurs dans le Christ. Je me nomme Jean Michel Aymérique ZIE et ceci est le témoignage de ma rencontre avec Jésus Christ.

I- Présentation

Disons d’abord que je suis un ivoirien (de père et de mère), né au Sénégal. Et mes parents sont des gens qui ont chacun un témoignage particulier de leur rencontre avec le Christ. Mon père a failli devenir prêtre et ma mère a failli devenir sœur. Je dirai heureusement pour mes frères et moi que cela n’a pas pu se faire sinon je ne serai pas en train de vous écrire ce témoignage. C’est pour vous dire qu’à la maison Dieu occupe une place très importante dans notre quotidien. De même, les bibles, les livres chrétiens et tout le reste il y en a gogo dans toute la maison. Et c’est dans ce désir la de nous communiquer l’amour de Dieu, de nous consacrer a Lui, que chacun de mes frères et moi a été baptisés bébé. Ainsi chaque dimanche la messe était le menu principal de la journée. On avait quand même le choix entre rester à la maison et aller à l’église. Celui qui choisissait de rester à la maison devait toutefois effectuer les tâches ménagères et celui qui allait à la messe avait l’avantage d’avoir un peu d’argent pour la quête. Le choix était vite fait. Au début j’étais très turbulent pendant la célébration. J’avais une bande d’amis, dont j’étais l’animateur principal, avec qui on semait vraiment la pagaille. Le problème a été vite réglé quand on m’a donné quelques taches dans l’église même. Ainsi un dimanche sur deux je faisais passer le panier pour la quête. Très vite je me suis retrouvé enfant de cœur (et j’avoue que j’aimais vraiment ca) .Ensuite j’ai eu à recevoir les sacrements celui de la réconciliation, de l’eucharistie puis de la confirmation. Ayant pris de l’âge j’ai laissé tomber le service d’enfant de cœur pour me donner a celui de la lecture C’est la qu’a commencé le trou noir. Mon affaire de Dieu se limitait à être engagée dans l’église en y allant fréquemment, en lisant la Parole devant l’assemblée, en participant aux récollection, aux pèlerinages etc. Je me disais chrétien mais je ne l’étais pas.

En effet un chrétien étymologiquement sa veut dire « disciple de Christ ».Prenons par exemple les douze apôtres de Jésus. Ils ont laissé tomber tout ce qu’ils possédaient pour suivre Jésus. Pierre dira même « À qui irions-nous seigneur tu as les paroles de la vie éternelle. » (Jean chap6 v68).Être chrétien c’est donc un état, une condition de vie .On est pas bon chrétien ou mauvais chrétien. On l’est ou ne l’est pas. On suit le Christ ou on ne le suit pas. C’est tout ou rien. On ne doit donc pas faire de tris en ce disant bon ici la Dieu n’es pas dedans. Et c’est comme ca qu’on pense que comme le dimanche est le jour du seigneur c’est seulement ce jour la qu’on doit lui plaire en allant à l’église.
Concrètement je n’étais pas du tout chrétien puisque dans je posai des actes qui ne reflétaient pas du tout la condition de disciple de Christ. Je me disais souvent « que Dieu me pardonne j’aime bien aller a l’église mais ca la je ne peux pas laisser ». Par exemple chaque 31 décembre on m’invitait à une veillée de prière moi je préférai nettement aller en boite de nuit pour fêter. Je peux donner plein d’autres exemples de ce genre.
Je dirais quand même dirais que les maux qui me rongeait le plus c’était la masturbation et l’idolâtrie sans oublier le fait que je voulais paraître pour ce que je n’étais pas.

II- Les maux qui rongeaient ma vie

II-1) L’envi et le vol

Pour commencer je dirais qu’à la maison mes parents ont toujours voulu nous inculquer une valeur tant recherchée dans nos sociétés : l’humilité. Venant eux même d’un milieu pas très aisé, ils avaient vraiment horreur du gaspillage sous toutes ses formes. Ainsi le matin on avait un simple goûter (pour les plus petits), de simples habits pas très « in ».Bref juste l’essentiel. Mais moi l’essentiel ne me suffisait pas j’enviais beaucoup mes camarades qui avaient de beaux habits de belles chaussures etc. Et comme je ne pouvais pas avoir l’argent pour faire mon malin aussi, on bien faire le boucan, comme on le dit au pays (Côte d’Ivoire).Alors je servais dans les portefeuilles de maman ou encore dans les vestes de mon père. Sa a commencé par les 10francs, 25francs et rapidement je suis passé à 500fr et je me rappelle que mon record c’était 30 000 francs. Ce jour la ça a dégénéré .Tout le temps des histoires avec particulièrement ma mère. Je me sentais assez fort pour lui rendre les coups qu’elle me donnait mais heureusement que je ne l’ai jamais fait. Alors à la maison dès que quelques choses disparaissaient c’était automatiquement moi qu’on regardait et dans la plupart des cas je n’étais pas du tout innocent. Cela a commencé au primaire et je dirais que je m’en suis sorti d’une mauvaise manière tout de même vers la classe de Quatrième au collège. Le troisième point ici développé vous fera comprendre. En effet je me disais Didier DROGBA ne vole pas donc moi aussi je vais arrêter et c’est comme sa j’ai arrêté. Et puis il y a mon père aussi qui était venu me parler posément…

II-2) La masturbation

Tout a commencé en classe de quatrième lorsque je me suis aperçu que j’étais atteint de la gynécomastie. J’ai donc depuis ce temps le tour de poitrine qu’une petite fille de 9 ou 10 ans. De la j’étais très gêné et j’ai dû tout de suite arrêter la natation. J’ai donc tout fait pour ne pas qu’on s’en aperçoive. Toutes mes connaissances ne s’en sont pas rendu compte mais pour ceux qui le savaient j’étais un sujet presque permanent de moquerie. De la même j’ai reçu plein de mauvais conseils. J’en avais retenu un qui m’avait affecté particulièrement. En fait ces gens la me disaient que cela était du au fait que je n’aie pas connu de femme. Et voila le conseil était de m’y mettre activement genre de pratiquer l’activité sexuelle fréquemment. Toutefois je n’ai pas réussi à me trouver une partenaire (heureusement !!!!!).C’est ainsi que j’ai eu recours à la masturbation. De la classe de quatrième (collège) jusqu’au jour de ma nouvelle naissance, soit un peu plus de sept ans, j’en étais captif. Sept longues années durant lesquelles j’ai usé de cette pratique comme un malade qui suit le traitement qu’on lui a prescris (Un le matin, un a midi un le soir). Je savais que ce que je faisais n’étai pas bien, mais je ne n’arrivais pas à m’en défaire. Même quand je prenais la décision d’arrêter cela ne durait pas plus de deux ou trois jours. En plus je me trouvais des excuses dans le genre .Dieu connaît mon problème il me comprendra ou encore je ne suis pas en train de coucher avec quelqu'un (j’aimerais bien préciser quelqu’une mais parait que ce n’est pas français), que j’arrêterais quand je me marierais et que d’ici la cela me permettrait de tenir. Je ne sais pas si cela m’a aidé un temps soit peu mais une chose est sur j’étais complètement a coté de la plaque. Non seulement j’avais toujours le même tour de poitrine mais aussi je n’étais pas bien dans mon fort intérieur. Avec mes frères (dans le sens africain) on riait on se moquait de ceux la qui se donnait a cette pratique et ils ignoraient que j’en faisais partie intégrante. J’en riais beaucoup pendant ces moments-là mais une fois seul c’était le chagrin, le KO. Je voulais m’en sortir mais je ne pouvais pas du tout. Chaque jour mes 1m84 pour 75kg se faisait petit devant un morceau de savon, un flacon de shampoing ou je ne quoi d’autre. Heureusement qu’un jour…. (Je garde le meilleur pour la fin).

II-3) L’Idolâtrie

En ce qui concerne l’idolâtrie cela ne s’est pas passé de la même façon. Sur ce point j’étais comme possédé. Il ne s’agissait pas d’un culte que je rendais à un fétiche ou à un canari mais c’était tout comme. En effet j’avais un amour excessif, démesuré et exagéré pour l’international ivoirien Didier DROGBA. C’est vrai que j'aimais le football et que même si je n’avais pas cette particularité là de savoir dribbler, au contraire j’en encaissais beaucoup. J’appréciais souvent le talent de certains joueurs tel que Ronaldo, Zidane ou encore Rivaldo pour ne citer que ceux-là. Mais le jour où j’ai vu Didier DROGBA pour la première fois c’est comme si on avait placé de l’or devant moi tellement j’étais stupéfait .J’étais vraiment captif de ce que je voyais. C'était lors d’un match amical opposant la sélection ivoirienne à celle du Cameroun. Les ivoiriens l’avaient remporté 3 buts à 0 avec un de Didier DROGBA à la clé. C’est la qu’a commencé la drogbamania. Mon entourage s’en est très vite aperçu et tout le monde m’appelait « drogba ».J’en étais fier et c’était devenu mon identité, ma personne. J’ai alors commencé à collectionner les effigies du joueur ; enfin tout ceux qui contenait son image que ce soit des photos qu’on vendait dans la rue, des posters (j’avais réussi plus de la moitié d’un mur de ma chambre), des maillots et j’en passe. Il m’arrivait de payer un journal dont je ne connais même pas le titre rien que pour une image de Drogba aussi petite qu’une photo d’identité .J’avais tous les accessoires imaginables et en fait il ne manquait que le caleçon pour parfaire la collection. Je me rappelle que lorsque son équipe jouait on pouvait demander à tout le monde n’importe qu’elle service sauf à moi. Lorsqu’il marquait un but j’en étais si heureux que je criais et sautais dans tous les sens d’une manière vraiment indescriptible. Quand il arrivait que l’équipe perdait à un moment important (par exemple la finale de la coupe d’Afrique des nations 2006 ou encore la finale de la ligue des champions 2008) c’était pour moi un jour de deuil. Mon entourage s’en est très vite aperçu et tout le monde m’appelait « drogba ».J’en étais fier et c’était devenu mon identité, ma personne. C’est de la que je laissais pousser mes cheveux pour avoir la même coiffure que mon « idole ». C’est la que tout a commencé à se gâter. En effet je dirais concrètement que mon père n’aime pas trop cette affaire de cheveu la. Et justement pour moi enlever ces cheveux la c’était devenu chose impossible. J’ai cédé deux ou trois fois mais chaque fois j’avais cette impression qu’on m’enlevait une partie de moi-même donc les intervalles avant que je ne passe a la tondeuse était souvent très considérables. Les cheveux poussaient jusqu'à un niveau exponentiel. Je ne pouvais pas me défriser pour faire la même coiffure que Drogba, mais je tenais à les garder quand même quatre vérités (si déjà c’était des vérités c’était mieux). De la je n’honorais pas du mon père. Et il me l’avait fait plusieurs fois savoir. Les détails comptent pour lui. Et même je gagnais des milliards au dehors et que je lui ramenais même la totalité, cela n’aurait eu aucun sens à ses yeux. La relation que j’avais avec lui se limitait donc à lui demander l’argent pour différentes raisons, un bonjour papa dès que je le voyais. Face à cette situation je me suis beaucoup rapprocher de ma mère qui même si elle ne me comprenait pas toujours m’écoutait beaucoup et cela comblait cette relation la que je n’avais pas avec mon père. C’était bien dans la mesure où avec elle aussi il fut un temps ce n’était pas trop sa entre nous. Mais cela avait un temps soit peu empiré les choses. Je dis que cela parce qu’à partir de la mon père n’était au courant de mes faits et gestes que lorsque ca chauffait ou bien lorsqu’il fallait sortir de l’argent. Et cela l’avait vraiment frustré il en était vraiment bouleversé. Il aurait aussi aimé que je lui dise tout que je lui demande quelques conseils par ci par la. Mais voila nous deux nous étions devenu le jour et la nuit c'est-à-dire qu’on ne se croisait que le matin et le soir.

III- Puis un jour…

Je me rappelle que pendant les périodes qui ont marqué ma conversion je doutais vraiment. Je dirais même que je doutais sérieusement. En effet je faisais beaucoup de prière pour une requête qui me tenait vraiment à cœur. Je demandai à Dieu de me permettre de devenir footballeur professionnel. J’ai mis plusieurs fois Dieu à l’épreuve à cause de cette requête Et comme je ne trouvais pas satisfaction malgré toutes les prières que j’avais bien pues adresser je me suis mis à me poser plein de question sur l’existence même de Dieu, sur un éventuel plan qu’il aurait pour moi. Bref je cherchais le pourquoi même de mon existence parce que tout mon espoir était dessus. Je me rappelle même qu’en classe de terminale pendant que tous mes camarades de classes faisaient des démarches de préinscription pour les études supérieures, moi j’avais autre chose dans la tête ça ne me disait rien. J’avais plein de question et je ne trouvais pas de réponse qui me satisfaisait. Je m’étais inscris sur un forum intitulé « Jésus Christ est mon ami » du site www.hi5.com. J’ai donc demandé a tous les internautes qui s’y trouvaient comment est ce qu’on devait faire pour savoir si tel ou tel ambition correspond au plan de Dieu pour nous. Alors j’ai eu plein de réponses mais une seule a attiré mon attention. En fait ce n’était pas une réponse plutôt une interrogation. La dame, puisqu’il s’agit d’une femme mariée, m’avait demandé  A tu reçu Jésus comme seigneur et sauveur ? Quand j’ai lu ça j’avais tout de suite envi de répondre par l’affirmative mais en y repensant je me suis dit « mais attend cette tanti qu’est ce qu’elle me raconte de quoi elle parle ?» .Je le lui ai fait savoir que je ne savais vraiment pas de quoi elle parlait. Étant géographiquement éloigné elle m’a donc proposé de rencontrer une amie à elle pour qu’on puisse discuter de plusieurs choses. Dans ce forum il y avait aussi des athées. Et en lisant leurs interventions je me mettais sérieusement à devenir fou parce cela ne me laissé pas indifférents .J’essayai de refuser de les croire et j’avais vraiment besoin d’aide. Je l’ai donc signalé à la dame. Après lui avoir donné mes contacts j’avais donc pu fixer un rendez vous chez son amie un certain Lundi 24 Octobre 2008 à 18h. Je suis donc allé chez elle et au début de la conversation j’ai eu à exposer mon problème de façon peut être ambiguë mais je crois qu’elle avait très bien compris de quoi j’avais besoin. Elle m’a d’abord rassuré en me disant que cela était normal que chacun d’entre nous avoir des rêves et des ambitions et que Dieu avait prévu quelques choses pour chacun de nous. C’est alors qu’elle me parla du plan salvateur du Créateur pour la race humaine. Pour ne pas parler dans le vide elle était allée chercher des bibles. Pendant ce cours instant je me disais « Eh Dieu c’est dans quoi je suis entré encore s’il te plait attrape mon pied ou bien fait quelque chose si tu veux que je reste dans cet endroit je sais ou se trouve la porte je peux partir sans problème avant même que la dame ne revienne ».Je n’avais même pas fini de parler j’avais remarqué qu’il y avait quelque chose qui me chatouillait les pieds. C’était une chatte assez vielle qui se déplaçait très lentement et qui attendait que je la caresse, que je lui montre de l’affection. Je suis alors resté et j’attendais la tanti. Elle est revenue avec deux bibles et m’a fait lire le passage de la nouvelle naissance à savoir Jean Chapitre 3 verset 1 à 17. Moi qui cherchais le plan de Dieu pour moi, j’ai alors redécouvert le plan de sauvetage de Dieu pour toute l’humanité. Toutes ces choses je les connaissais. Jésus, l’histoire d’Adam et Ève, mort et résurrection du Christ et tout le reste j’en avais une idée mais le Salut, la repentance, mon état de pécheur, une relation personnelle avec Dieu ça j’en avais aucune idée. Pendant qu’elle était en trin de parler c’est comme si a l’intérieur de moi-même on prenait une brosse et qu’on était en trin de nettoyer de fond en comble et surtout qu’on ouvrait mes yeux. Ce qu’elle disait ne ressemblait à rien aux homélies auxquelles j’avais bien pu assister ou encore au cours de catéchèse etc. L’Esprit Saint était vraiment en trin d’agir et je sentais que quelques chose se passait. Elle m’a alors dit que tout ce que Dieu attendait de moi c’est que je reconnaisse que sans lui je ne suis rien, que je laisse tomber cette vie que je mène qui ne le glorifie aucunement. C’est ainsi que j’ai abdiqué face a la majesté du Créateur. Elle a prié pour moi et ma propre prière de repentance je l’ai fait en sortant de chez elle. Y avait bien un de ses amis qui ma raccompagné mais juste après bien qu’étant en trin de marcher j’avais les yeux fixés vers le ciel et j’implorais Dieu de me pardonner. Aucun ange n’est descendu pour me félicité, aucune lumière n’est apparu pour me dire quelque chose. Mais j’avais le sentiment que de la même manière qu’on lavait mon intérieur maintenant on venait de le rincer à l’eau propre. A force même d’avoir les yeux vers le ciel j’ai complètement perdu mon chemin mais cela m’importait peu je venais de retrouver le chemin de la maison de Dieu !!!! Ce jour la quand je suis allé me coucher j’ai repris la bible la j’ai relu le chapitre qu’elle m’avait donné en entier et je n’ai pas voulu m’arrêter la, j’avais envi de continuer et j’ai donc lu jusqu’au chapitre 7. Je me suis endormi sur ma bible. Dans mon rêve j’étais comme dans une fête tout le monde était habillé de blanc. Tout le monde tenait à me féliciter, à me souhaiter le bienvenu. Depuis ce jour la, depuis cette nuit du 24 Octobre 2008, je fais une chose comme le dit la Parole dans Phillipiens chapitre 3 verset 13 et 14.

Frères, je ne pense pas l'avoir saisi; mais je fais une chose: oubliant ce qui est en arrière et me portant vers ce qui est en avant, je cours vers le but, pour remporter le prix de la vocation céleste de Dieu en Jésus Christ.

IV- À partir de désormais et jusqu’à dorénavant…

Depuis ce jour, je n’ai plus peur du lendemain car je sais que si je meurs physiquement je me retrouve directement près du seigneur. J’ai l’assurance de mon salut et désormais je n’ai qu’un seul désir ne vivre que pour celui qui m’a créé.
Cela ne veut pas dire que je vais aller me jeter du haut d’un immeuble pour le retrouver rapidement. Toi qui lis ce texte en ce moment, je te conseille de chercher à faire cette vraie repentance et expérimenter cette nouvelle naissance. Arrêtons de prendre Dieu pour un con on ne peut pas faire tout ce qu’on veut, mener notre vie comme bon nous semble, marchant selon les plaisir les désirs de ce monde et espérer et après blâmer Dieu dès qu’on a des problèmes. Cherche à avoir cette relation personnelle avec Dieu et à faire sa volonté parce que ce n’est tous ceux qui diront seigneur, seigneur qui entreront dans son royaume (Mathieu 7 v21). Dieu t’aime tel que tu es. Ce dont il a horreur c’est le péché, tous ces actes, pensées et paroles de notre quotidien qui ne le glorifie pas du tout.


Père Éternel, je te bénis en te rends grâce pour ce que tu fais dans nos vies. Je te remercie d’avoir envoyé ton fils unique dans ce monde afin que nous soyons sauvés. Maintenant Père je te prie pour cette personne qui est en trin de lire ce texte, tu connais son cœur, tu connais sa personne. Que ton Esprit Saint le (la) guide vers toi et sois une véritable nuée divine afin qu’il (elle) puisse s’égarer des voies de la perdition et entrer par la porte étroite qui mène a toi. Amen.