Il y a deux ans de cela j'ai failli perdre ma mère car subitement elle a eu une défaillance totale
du coeur, il y a eu un blocage soudain dans sa circulation sanguine et les artères de son coeur
ont été obstrués je suppose, mais ce que je sais c'est que son coeur s'est arrêté de battre... le
soir d'avant elle s'était senti mal en son corps et ressentait un essouflement et des chaleurs,
alors elle avait demandé à mon père de la conduire d'urgence à l'hôpital. Mon père, qui
s'appelle André, avait passé la journée avec elle et s'en retournait à la maison pour se
reposer vers 5:00 pm, et s'est après son départ pendant que sa femme reposait à l'hôpital
que cette chose subite et vraiment innatendue s'est produite: Le coeur de ma mère avait tout
à coup flanché, sans raison, de façon inexplicable, le coeur s'était arrêté de battre et malgré
tous les efforts des médecins et des infirmières qui avaient accouru au secours de ma mère
le coeur refusait de faire son travail normal. Après beaucoup d'effort et l'application des
techniques de réanimation que tu connais je pense pour les avoir vu à la télévisions dans les
films et les téléséries, le coeur acceptait de recommencer à battre mais pas plus que pour
cinq minutes et s'arrêtait d'elle-même... les médecins recommençaient à appliquer toutes les
techniques connues et apprises, chocs électriques, défibrilateurs, massages cardiaques,
injections de liquides pour tenter de diluer le sang et débloquer des artères possiblement
obstrués... Le coeur ne voulait rien savoir malgré tous leurs efforts et leur obstination à le
pousser à faire son travail. Il ne battait que pour cinq petites minutes et s'arrêtait pour de longs
moments jusqu'à ce que finalement les massages et chocs électriques et toutes ces choses la
forcent à battre à nouveau.
Finalement après presque trois heures de travail et d'efforts constants (2heures et 40 minutes,
car mes soeurs étaient présent dans ce temps-là ayant accourus à l'hôpital lorsque averties
par l'hôpital de ce qui était arrivé à leur mère et de ce qui se passait pour se préparer au
pire), les médecins ont abandonné car il n'y avait plus rien à faire, le cas était désespéré, la
dame était fini, le coeur ne battrait plus jamais. Ils ont donc appelé la famille, c'était mon père
et mes soeurs qui étaient présent, pour leur expliquer la situation et leur demander la
permission de débrancher la dame de l'appareil de survie appelé respirateur artificiel sur
lequel les médecins l'avaient branché (et qui la mentenait en vie pour un court moment en
poussant de l'air dans ses poumons) pour la laisser aller et l'envoyer à la morgue de l'hôpital.
Mais ma soeur (Marie-Marthe) est une fille de Dieu remplie de foi, de sagesse et de l'Esprit
de Dieu, elle connaissait son Dieu et savait qu'il pouvait faire revivre sa mère. Elle a répondu
au médecin de simplement laisser sa mère branché à l'appareil et qu'elle (avec nous tous de
la famille qui croyons en Dieu) allait faire confiance à Dieu pour opérer un miracle en faveur
de notre mère. Le médecin s'était senti insulté que ma soeur refuse de comprendre que
c'était fini et il avait plaidé que eux les médecins avaient fait tout ce qui était en leur pouvoir de
faire et qu'il était impossible qu'elle vive après tout ce qui était arrivé... Le medecin avait
répondu qu'il n'y avait aucun miracle possible et que rien ni personne pouvait y changer
quelque chose. Le médecin a tout fait pour décourager ma soeur de croire Dieu pour un
miracle, mais elle a persisté à croire et est demeurée ferme dans sa foi et sa conviction que
son Dieu peut faire un miracle et qu'il le ferait si nous voulions bien le lui demander en lui
faisant confiance. Finalement le médecin n'avait d'autre choix que de se plier à la décision de
la famille et ils ont amené la mourante (quasiment morte car le coeur ne battait toujours pas,
elle était totalement inconsciente et dans le coma, elle ne bougait pas d'un pouce) à l'unité
des soins intensifs et l'ont couché sur un lit pour attendre la fin.
Lorsque moi-même j'ai appris la nouvelle de ce qui s'était passé quand ma soeur m'avait
appelé et demandé de me rendre d'urgence à l'hôpital, je n'ai pas paniqué mais j'ai eu
confiance en mon Dieu, j'ai calmé ma soeur et lui ai dit que nous allions faire confiance à Dieu
et prier et appeler notre pasteur et les responsables des autres groupes de prières de notre
église pour demander que tous prient pour un miracle de Dieu et la guérison de ma mère. Car
s'était une soirée de réunions de prière dans les maisons (des cellules de maisons). Dieu
savait déjà et avait déjà préparé la délivrance. Cette même nuit le coeur de ma mère s'est
réactivé et a recommencé à fonctionner et battre dans son buste... après plusieurs heures
d'inactivité. Ensuite Dieu a opéré miracle sur miracle avec les jours qui passaient. Elle est
sorti du coma 2 ou 3 jours après l'accident cardiaque. Elle a ouvert les yeux. Elle avait
conscience de sa personne et comprenait, on pouvait voir qu'elle avait sa raison et que son
cerveau et ses capacités mentales étaient actives, même si les médecins en doutaient
beaucoup parce qu'ils pensaient qu'elle serait définitivement "légume" c'est-à-dire morte au
niveau du cerveau, le cerveau détruit et dégénéré de façon irréparable. Mais ce n'était pas le
cas. Lorsque les tubes qui servaient à la nourrir et à l'oxygéner lui ont été enlevés, elle a
imméditement parlé et demander de l'eau à boire. Elle n'avait donc pas perdu la capacité de
la parole, ni son raisonnement, ni sa réflexion, ni sa mémoire, ni ses capacités intellectuelles
et mentales... Ils étaient tous intacts et c'était un miracle, un prodige aux yeux des médecins et
des infirmières. Des tests ont été fait sur son coeur et il est en bon était, il n'était pas détruit
malgré tous les chocs électriques et les massages cardiaques et toutes les choses très dures
qu'il avait enduré.
Dieu a opéré ses miracles et ses prodiges parce que nous avions eu confiance en lui et le lui
avions demandé. Dieu a guéri. Dieu nous a écouté. Dieu nous a exaucé. Nous n'avons pas
été confondu devant les hommes mais nous avons été justifiés dans notre confiance et en
notre foi en Dieu pour le miracle espéré. Gloire à Jésus, ma mère vit, elle n'est pas morte.
Merci à Jésus pour ses bienfaits.